Elon Musk en route pour devenir le premier à remplir un porte-monnaie XXL de 1000 milliards d’ici 2027, de quoi s’acheter quelques planètes de rechange !

Dans une audacieuse vision d’une future utopie financière ou d’une dystopie selon votre point de vue (Qui ne rêve pas de billionnaires exploitant les autres depuis leurs yachts dans l’espace?), Elon Musk, propriétaire effronté de merveilles technologiques comme Tesla, SpaceX et autre chose qui était autrefois connu comme Twitter, apparaît propulsé vers la quintessence de la richesse : un billion de dollars. Mais laissons une seconde pour nos cœurs de marxistes cyniques pour se ressaisir. Ce sont « seulement » mille milliards, dans l’argot français, pas dans l’anglais, où ils sont de façon chagrine relégué au rang d’unique milliardaire. Un tel regard astronomique sur la fortune viendrait du rapport de vendredi de la Informa Connect Academy, un sous-produit érudit du publicitaire britannique Informa.

Armé d’un taux de croissance de fortune annuel oscillant autour de 109,88%, il est prévu que notre bravache protagoniste atteigne ces sommets d’ici 2027. La sagesse murmure une ode à la prudence – la croissance fulgurante de Musk n’est assurée que par la pérennité de ses projets entreprenariaux prospèrent et une économie bienveillante. Entre-temps, nos amis analystes de Morgan Stanley, toujours enclins à la décennie passée de la floraison d’Elon à 237 milliards de dollars, prédisent que ce sera lui qui passera en premier le seuil du billion.

Non loin derrière se frayent un chemin d’autres personnages, dont Gautam Adani, maintenant à 99,6 milliards de dollars, mais à une cadence ahurissante de 122,86%. Adani est en bonne compagnie avec Jensen Huang, l’homme derrière Nvidia, et Prajogo Pangestu, un magnat pétrolier et minier indonésien. Au milieu des tourbillons de richesse, les patriarches traditionnels Bernard Arnault, Jeff Bezos et le sémillant Bill Gates semblent perdre de la vitesse. Arnault vient en troisième position, à 181 milliards, mais ses 29,33% par an paraissent mous à côté des nouveaux venus. Il suivra la route du billion d’ici 2030, rejoignant le créateur criard de Facebook, Mark Zuckerberg (178 milliards, +35,76% par an) selon les estimations. Bezos (+15,27% par an) atteindra finalement le billion en 2036.

Notre club du billion est singulièrement mal équipé pour rencontrer les critères de diversité: aucune présence féminine notoire avant 2040, notre coqueluche française Françoise Bettencourt Meyers serait la première à choisir son siège.

Pendant ce temps, le récent rapport de l’ONG Oxfam continue de maintenir l’intérêt en rappelant à la face du monde que depuis 2020, les cinq hommes les plus riches du monde se sont lamentablement contentés de doubler leur fortune, et prévoient première entrée dans le club du billion « Dans une décennie ». My, cela ne sonne-t-il pas familier?

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*